Algérie-Mauritanie : La CAF provoque encore la colère des Algériens

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L’équipe d’Algérie va affronter la sélection de la Mauritanie, mardi 23 janvier à 20h00 au Stade de la Paix de Bouaké, en Côte d’Ivoire, et ce, pour le compte de la troisième journée de la phase des poules de la Coupe d’Afrique des nations (CAN 2024). La Confédération africaine de football (CAF) a désigné les arbitres de la rencontre et le moins que l’on puisse dire, c’est que les supporters algériens ne sont pas contents.

En effet, si l’on suit les supporters algériens sur les réseaux sociaux, l’on se rend compte que la désignation des arbitres pour le match des Fennecs contre les Mourabitoun est considérée comme une provocation contre l’Algérie dans la mesure où le referee désigné à l’Assistance vidéo (VAR) est controversé, notamment après le match qui a opposé la Tunisie au Mali. C’est l’arbitre Ghanéen, Daniel Laryae, qui a été désigné à la VAR et c’est lui que la Fédération tunisienne de football (FTF) accusé d’avoir privé les Aigles de Carthage d’un penalty face à la sélection malienne (1-1).

Une désignation qui fait polémique

D’ailleurs, la Tunisie a introduit une réclamation auprès de la CAF visant justement cet arbitre de la VAR et la CAF n’a pas trouvé mieux à faire que de le désigner pour le match Algérie-Mauritanie. Et c’est ce qui est considéré comme une provocation par les supporters algériens qui appellent la FAF et à la délégation algérienne en Côte d’Ivoire à la vigilance, d’autant plus que l’arbitre central désigné n’est autre que le Somalien, Omar Abdulkadir Artan qui n’a pas une grande expérience dans ce genre de tournois.

Il est utile de rappeler que lors de ses deux premiers matchs face à l’Angola et au Burkina Faso, l’Algérie a été victime de plusieurs erreurs d’arbitrage que les arbitres de la VAR n’ont pas signalées. Particulièrement lors du deuxième match face au Burkina Faso qui a vu l’arbitrage priver les coéquipiers de Mohamed Amoura d’au moins trois penaltys, sans que l’arbitre de la VAR ne le signale, comme le lui dit la réglementation.