Il s’agit d’un casse-tête de taille pour Djamel Belmadi et la sélection algérienne. La défense des Fennecs pose en effet un problème, quelques semaines seulement avant le début de la CAN 2024.
Tout le monde l’aura remarqué et les critiques sur les réseaux sociaux et dans certains médias sont assez nombreuses pour qu’elles ne soient pas vues par le sélectionneur national Djamel Belmadi. La défense de l’équipe d’Algérie n’est pas bonne et Belmadi trouve encore des difficultés à trouver des solutions, particulièrement dans l’axe.
L’axe de la défense, la grande priorité pour Belmadi avant la CAN 2024
La paire Mandi-Benlamri qui a participé au sacre final à la CAN 2019 en Egypte a du mal renaître de ses cendres, Benlamri ayant galéré un peu en club avec une instabilité chronique et une chute dans le championnat algérien qui ne l’aidera pas à retrouver le haut niveau. Quant à Mandi, il est de plus en plus critiqué pour sa lenteur, même si certains voient cela comme de la sérénité dans le jeu.
Mais la blessure de Aïssa Mandi provoque désormais une panique générale dans les rangs de l’équipe d’Algérie car le sélectionneur national va devoir réfléchir profondément pour trouver une solution dans l’axe de sa défense. Un véritable casse-tête car à première vue, la solution idéale est encore inexistante, alors qu’une solution d’avenir, Belmadi doit aller la chercher parmi les pépites de la diaspora, surtout que Touba et Tougaï peuvent constituer des doublures mais ils ne sont pas vraiment satisfaisants en tant joueurs principaux.
Si Djamel Belmadi a l’embarras du choix à gauche de la défense, grâce notamment à Bensebaïni, Aït Nouri, Hadjam et Larouci, ce n’est pas vraiment le cas à droite où l’affaire Youcef Atal rappelle au sélectionneur qu’il sera peut-être obligé de ne compter que sur Kevin Guitoun et de rappeler Mehdi Léris, même si leur rendement est loin d’égaler celui d’un Youcef Atal époustouflant.