Youcef Belaïli risque encore une grosse suspension

Youcef Belaïli risque encore une grosse suspension

L’attaquant algérien Youcef Belaïli est de nouveau dans l’embarras. Le joueur du Mouloudia Club d’Alger (MCA) a été condamné par la FIFA à verser une pénalité de retard de 50 000 euros à son ancien club, Al-Ahli de Djeddah.

Cette pénalité est liée au règlement tardif d’une dette de 3 milliards de centimes (environ 250 000 euros) que Belaili devait à son ancien club saoudien. Le joueur avait été condamné à cette somme par la FIFA en 2021, pour avoir quitté le club sans autorisation. Selon les informations du journaliste sportif Samir Lamari, Belaïli dispose d’un délai impératif jusqu’au 28 décembre pour s’acquitter de cette nouvelle somme. En cas de non-paiement dans les délais impartis, le joueur risque de se voir infliger une suspension de six mois.

La direction du MCA a assuré de manière catégorique que la somme exigée sera réglée dans les délais impartis, précise le journaliste. Toutefois, cette nouvelle affaire pourrait avoir des conséquences importantes pour la carrière de Youcef Belaïli. En cas de suspension, le joueur de 31 ans serait privé de compétition pendant une longue période, ce qui pourrait nuire à sa forme physique et à sa progression. Il est donc important pour Belaïli de régler cette affaire le plus rapidement possible, afin de pouvoir éviter une sanction qui pourrait compromettre sa carrière.

Youcef Belaïli au cœur d’une nouvelle affaire

Ce n’est pas la première fois que Youcef Belaili se trouve dans une situation délicate avec la FIFA. En 2021, le joueur avait été condamné pour abandon de poste. Il a ensuite, rompu unilatéralement son engagement en 2022, avec le club corse, Ajaccio. Cette condamnation met en évidence la nécessité pour le joueur de prendre ses responsabilités contractuelles au sérieux, sous peine de sanctions financières et disciplinaires sévères.

Il faut noter que le litige entre Belaïli et Al-Ahli Djeddah a été réglé par le club employeur de Youcef Belaïli, donc le MCA et le groupe pétrolier algérien, Sonatrach. Le club saoudien a bel et bien été payé, mais l’opération a pris un peu de temps supplémentaire. Le club devra encore payer pour ce retard.