Coupe du Monde : « Rien ne serait comme avant »

Coupe du Monde : « Rien ne serait comme avant »

Le célèbre commentateur sportif algérien du Groupe qatari BeIN Sport Hafid Derradji n’approuve pas la nouvelle « version » de la  prochaine Coupe du Monde de football 2030, « départagé » entre trois Continent et dont les rencontres seront abritées par six pays.

 Les amoureux de la balle ronde ne cachent plus leur scepticisme quant à la nouvelle version des prochaines éditions de la Coupe du Monde football, estimant que la compétition organisée par plus d’un pays, contrairement aux passé, perd tout son charme.  C’est le cas notamment pour l’édition de 2030.

Pour le centenaire de la compétition, la Fédération internationale de football (FIFA), a fait savoir que le Mondial 2030, se tiendra en Espagne, au Portugal et au Maroc, alors que  trois premiers matchs, se joueront en Amérique du Sud. Cette «  drôle » de formule pas totalement approuvée, a fait réagir plus d’un.

« Rien ne sera plus comme avant pour (le mondial, NDLR). Depuis qu’il a été approuvé le changement de format avec la participation de 48 sélections à la phase finale, dés l’édition 2026, conjointement organisée par le Canada, les USA et le Mexique, il faudrait s’attendre à beaucoup d’autres changements dans le monde footballistique», a déploré Hafid Derradji dans une vidéo posté sur son compte Facebook.

Pour lui, le Mondial qatari, serait « le dernier » à avoir été organisé par un seul pays. Plus explicite, il affirme catégoriquement qu’« aucun pays ne serait en mesure d’organiser un Mondial à 48 équipes (104 rencontres en un mois) . « Même pas les USA, la Chine et ou la Russie ».

Le commentateur sportif du Groupe qatari BeIN Sport, n’écarte d’ailleurs pas que l’Arabie saoudite, pays hôte du Mondial de 2034, fasse appel à d’autres pays arabes et asiatiques pour ce faire. Ce serait probablement le Qatar, « mais il est prématuré d’en parler », a encore soutenu  Hafid Derradji.