« Triste individu, prétendu professionnel » : Le Paradou AC détruit Hafid Derradji

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La sortie médiatique du journaliste algérien de BeIN Sport, Hafid Derradji a fait réagir la direction du club algérien, le Paradou AC. Ce dernier a réagi violemment aux propos du commentateur du groupe médiatique qatari, concernant les trois jeunes joueurs transférés en janvier 2023 au Qatar.

En effet, dans un communiqué rendu public ce lundi 20 février, la direction du Paradou AC a dénoncé les propos de Hafid Derradji qui visent « vainement à porter atteinte à l’image du club de Paradou et de ses dirigeants, en cherchant à jeter la suspicion sur les transferts de certains joueurs vers le championnat du Qatar ». Ces propos ont été tenus dans une vidéo publié par le site WinWin sur la plateforme YouTube.

Violente charge du Paradou contre Derradji

Tout en démentant les propos du journaliste de BeIN Sport, les rédacteurs du communiqué ont usé de mots virulents à l’égard du journaliste, de ses intentions et même de son professionnalisme. « En déclarant dans cette vidéo que ces trois joueurs transférés sont âgés de moins de 18 ans, ce qui est totalement faux, ce prétendu professionnel a proféré un mensonge aussi odieux qu’inacceptable », est-il écrit dans le long communiqué du club algérois.

Plusieurs mots et expressions utilisés montrent la colère des dirigeants du PAC à l’égard de Hafid Derradji. « Prétendu professionnel », « journaliste bavard », « son ignorance », « indigne d’un soi-disant journaliste », « diffamatoire », « caractère malsain de la démarche de ce prétendu journaliste sportif » et « triste individu » entre autres, sont autant d’expressions utilisées par le PAC pour réagir aux propos de Hafid Derradji.

En fait, le PAC a démenti les propos du journaliste, notamment ceux en lien avec l’âge des joueurs transférés, tous âgés de plus de 18 ans, affirment les dirigeants du club pour contredire Derradji. Ces mêmes dirigeants qui démentent aussi le propos sur l’appartenance des trois joueurs, Mohamed Rafik Omar, Abdelghani Lallam et Fouad Hanfoug à l’académie de la FAF, alors que seul le premier cité vient de cette académie, mais en étant libre de tout engagement.