Malgré sa victoire au match aller sur un score (0-1), l’Algérie est tombée de très haut, mardi-soir, face au Cameroun où elle s’est inclinée (1-2) au stade Mustapha-Tchaker de Blida.
Lésés par l’arbitrage scandaleux de Gambien Bakary Gassama, les Algériens crient au scandale et exigent l’intervention de la FIFA pour faire rejouer la rencontre. Les supporters algériens exercent une pression énorme depuis hier mercredi sur la Fédération algérienne de football (FAF) afin d’introduire un recours à la FIFA pour que le match Algérie-Cameroun, soit rejoué. Selon notre source, la Fédération algérienne de football va introduire aujourd’hui officiellement un recours à la FIFA, en préparant un dossier accablant contre l’arbitre Bakary Gassama.
Les Algériens gardent espoir
Depuis l’élimination de l’Algérie, l’éventuelle annulation du dernier match Algérie – Cameroun et sa programmation dans un autre stade neutre, fait l’actualité des réseaux sociaux. Les Algériens gardent un espoir pour ce que le match soit rejoué. Depuis hier, les supporters des Fennecs ont pris d’assaut les pages officielles de la FIFA sur les réseaux sociaux.
Ce que stipule la FIFA
Pour qu’un match se rejoue, le règlement de la FIFA est clair. Les décisions de l’arbitre dans un match de football sont définitives, même si ce dernier commis des erreurs. « Les décisions prises par l’arbitre sur le terrain sont définitives et ne peuvent faire l’objet d’une révision par les organes juridictionnels de la FIFA », précise l’instance mondiale dans son réglement.
Pour recevoir un recours, la FIFA exige également à ce que la réclamation soit fondée sur : La participation d’un joueur inéligible à un match parce qu’il ne remplit pas les conditions définies dans les règlements pertinents de la FIFA ou un terrain inapte, pour autant l’arbitre que l’arbitre ait été informé dès que le problème a été signalé ou observé. Ceci dit que malgré les efforts des Algériens pour que le match se rejoue, les chances de voir la FIFA répondre positivement au recours de la FIFA sont très minimes.